Actualités de la COP 29 — Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC)

11-22 Novembre 2024

Baku, Azerbaijan

*Ces mises à jour paraîtront la plupart du temps en anglais.*

« Nous sommes témoins d’une épouvantable violence infligée à la création bien-aimée de Dieu. Et nous nous rendons de plus en plus compte à quel point nous sommes liés à ce mal, à la fois en tant que pécheurs et en tant que victimes du péché. » déclare Thomas R Yoder Neufeld, président de la Commission Foi & Vie.

« Nous nous devons de répondre, que nous vivions dans le Nord, qui est en très grande partie responsable de cette crise, ou dans le Sud, qui en subit une très grande partie des conséquences. »

Alors que les gouvernements examinent la façon dont ils vont devoir réagir lors des réunions annuelles de la COP (Conférence des Parties), les organisations confessionnelles sont présentes en tant qu’observateurs et militants.

La CMM publiera un résumé des réflexions de Marijke Van Duin (en anglais) pendant la COP 29, la Conférence des Nations Unies sur le changement climatique à Bakou, Azerbaïdjan, du 11 au 22 novembre 2024.

Marijke Van Duin vit aux Pays-Bas et travaille à temps partiel dans la communication pour l’Algemene Doopsgezinde Sociëteit (Église mennonite).

Pianiste de concert et chanteuse de formation, elle a mis de côté sa carrière d’artiste pour devenir membre du groupe de travail du Conseil œcuménique des Églises sur le changement climatique. Depuis 2000, elle est observatrice accréditée aux négociations sur le climat de la CCNUCC. Elle est cofondatrice du European Christian Environmental Network (« Réseau chrétien européen pour l’environnement », ecen.org).

La tâche des groupes religieux — et donc des mennonites — est avant tout de s’écouter les uns les autres.

« Nous devons prendre conscience de la crise climatique et de ses conséquences », déclare Marijke Van Duin.

Les églises doivent appeler à la justice climatique, y compris à la justice financière, et pas seulement à l’aide financière.

Les organisations confessionnelles doivent s’exprimer « pour souligner les aspects moraux et éthiques de la crise climatique et pour donner une voix à ceux qui sont le plus touchés — généralement ceux qui ont le moins de pouvoir », dit-elle.

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